crowdfunding

L’investissement dans les startups et autres jeunes entreprises est en train de se démocratiser avec le financement participatif.

Que faut-il savoir pour un investisseur souhaitant découvrir l’equity- crowdfunding ou financement participatif avec prise de participation au capital ?

Une approche long terme :

L’investissement dans des sociétés non côtées n’est pas un investissement « liquide ». C’est-à-dire que vous ne pouvez pas revendre vos parts le lendemain de l’achat ni même dans les mois qui suivent.

L’horizon de sortie est en moyenne de cinq ans (durée minimum pour réaliser une défiscalisation). Votre investissement sera donc bloqué jusqu’à ce qu’un rachat des actions soit organisé, lors d’une offre d’achat par un plus grand groupe par exemple ou par les dirigeants. Pour cette raison il est donc important de ne pas investir plus de 10% de ses revenus annuels.

Un investissement dans l’économie réelle et une aventure humaine :

Ici pas de spéculation immobilière ou d’investissement dans des produits financiers complexes. Il s’agit d’injecter de l’argent dans le capital d’une entreprise en phase de démarrage. Cet apport permettra à la jeune entreprise d’embaucher des salariés, de développer son réseau commercial, de poursuivre sa R&D, en un mot : de se développer. Votre choix se fait aussi sur la confiance en une équipe dirigeante que vous pensez capable de développer le projet. Après cette investissement, vous pouvez échanger avec les entrepreneurs, partager votre réseau, votre expérience et « créer de la valeur ».  L’apport n’est donc pas que financier il est aussi humain.
 La diversification :

Investir dans une PME ou une startup est par nature risqué.  Sur 10 entreprises, en moyenne  4 à 5 échoueront, 3 stagneront,  2 à 3 performeront légèrement et une « explosera ».
Pour réduire le risque, Particeep réalise une sélection très pointue des entreprises proposées et sélectionne avec un comité d’experts, uniquement les start- ups à « fort potentiel ». Il est cependant important de ne pas « mettre tous ses œufs dans un même panier » et que ce panier soit suffisamment important pour contenir une pépite dont la performance couvrira les pertes sur les autres entreprises.

Pour un investisseur ayant une capacité d’investissement annuelle de 20 000 euros, nous conseillons de répartir ce montant sur 5 à 10 entreprises. Particeep propose généralement des tickets d’entrée assez faibles (1 000 à 2 000 euros) facilitant cette diversification.

Les documents administratifs :

L’investisseur doit signer un bulletin de souscription spécifiant le nombre d’actions qu’il achète. Il doit également signer un pacte d’actionnaire liant les investisseurs. Il s’agit d’un « contrat de mariage » et d’un « contrat de divorce » réunis. Il évite les mauvaises surprises et régit les actions à mener en cas de rachat ou de sortie des investisseurs par exemple.  Un certain nombre de clauses existent souvent reprises d’un pacte à l’autre. L’investissement est ensuite acté lors d’une assemblée générale de l’entreprise.

Pour aller plus loin :

–          Consultez les start-ups et PME en levée de fonds

–          Inscrivez- vous pour bénéficier des dossiers en « avant- première »

–          Découvrez comment investir dans une start-up

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